Complément d’Enquête sur les influenceurs, une émission qui a beaucoup fait parler.
Initialement prévue jeudi en deuxième partie de soirée, elle avait été reportée
à ce dimanche en raison du décès d’Elizabeth II.
dans sa case habituelle (en raison d’une « enquête Cash » prévue jeudi prochain),
mais France 2 avait choisi de ne pas attendre car certains intervenants
faisaient pression pour ne pas apparaître à l’écran. . »
Magali Berdah sur le plateau
en plateau, de Magali Berdah, la patronne de l’agence d’influence Shauna Events
accusée d’escroquerie par Booba (qui a même porté plainte contre elle).
Il « a commencé à m’attaquer sur autre chose que des placements de produits », a-t-elle répondu, dénonçant le cyberharcèlement dont elle était victime, elle a également porté plainte.
« pratiques commerciales trompeuses » et « escroquerie en bande organisée »,
dont Rym Renon,Jessica Thivenin, Julien Tanti et Maëva Ghenam.
« Les trois quarts ne sont pas dans mon agence », s’est défendu l’invité des fauteuils rouges.
comme le dropshipping et ses dérivés.
Tristan Waleckx, le présentateur de « Complément d’Enquête »,
est notamment revenu sur le fait d’assurer à ses abonnés un prix imbattable
alors que le produit est disponible ailleurs pour (beaucoup) moins cher.
« Je ne peux pas réinventer l’économie française », a réagi Magali Berdah, assurant qu’elle était « en totale transparence dans ce (qu’elle) fait ».
elle précise que ni elle ni son agence ne l’ont fait.
Mais l’influenceuse a vite été contredite par le journaliste qui l’a reçue sur le plateau.
« Une fois, en cinq ans, j’ai montré une femme en train de me faire des piqûres », a avoué l’influenceuse.
des injections sur le visage, elle commente :
« Toutes les femmes qui ont besoin comme moi, elle est en France pour quelques jours de plus (…) et franchement, c’est la meilleure ».
« Les réseaux sociaux, tu y montres ta vie. J’ai le droit de dire ce que je pense », s’est-elle défendue, affirmant avoir payé cette opération et ne pas avoir été payée pour la promouvoir.
« Tu ne donnes rien aux autres »
sur les réseaux sociaux grâce aux vidéos qu’il tourne avec sa compagne Nina,
explique l’intérêt de s’installer à Dubaï : ne pas payer d’impôt.
Milla Jasmine et la contrefaçon
sur la promotion des contrefaçons, une pratique interdite.
avec le site « La Moulashop », qui vend des articles imitant des marques connues…
Avant que le journaliste ne lui montre l’une de ses vidéos,
dans laquelle elle explique travailler avec ce site.
« Je ne suis pas du tout au courant (que le site vendait des contrefaçons),
c’est Magali qui m’a donné ce placement », a botté l’influenceuse présentée comme une « ancienne strip-teaseuse ».